Parc Communal à Boussu


Le parc en détail

Le site archéologique du Château de Boussu a la chance d’être situé dans un écrin naturel de douze hectares. Lors du classement des ruines comme monument, il était donc normal que le parc soit lui-même classé comme site naturel, par arrêté de l’Exécutif de la Communauté Française en date du 20 juin 1988. Le demi-siècle d’abandon des lieux a en effet permis un développement naturel et spontané de la flore et de la faune. A côté d’arbres plus que centenaires (hêtre pourpre, marronniers, érables, chênes, tilleuls, platanes, frênes,...), diverses espèces de la flore traditionnelle de la vallée marécageuse de la Haine se sont implantées en toute quiétude et ont recolonisé progressivement les lieux formant ainsi un écosystème tout-à-fait remarquable dans sa diversité. A l’arrière du site, une zone humide, véritable roselière, vestige des étangs creusés au Moyen-Age, est habitée par une faune très variée (grenouilles, poules d’eau, canards colverts, hérons cendrés, tritons, ...). Différentes espèces animales ont trouvé dans ce parc un havre de paix. Celui-ci est, en effet, en communication directe avec le « Parc à Saules », le « Bois d’Hainin » et les « Bois de Montroeul » et de « Pommeroeul ». On y rencontre notamment écureuils, lapins, renards, faisans, poules d’eau, chevreuils, putois, belettes, lérots, hérissons... Les oiseaux y sont également très nombreux: chouettes, mésanges, pics, buses, ramiers, faucons, chardonnerets, hérons cendrés, passereaux,... Le parc du château de Boussu de douze hectares reprend le plan du parc romantique à l'Anglaise réalisé sous Maurice de Caraman (1769 - 1835), dernier comte de Boussu. Le site archéologique du Château de Boussu a la chance d’être situé dans un écrin naturel de douze hectares. Lors du classement des ruines comme monument, il était donc normal que le parc soit lui-même classé comme site naturel, par arrêté de l’Exécutif de la Communauté Française en date du 20 juin 1988. Le demi-siècle d’abandon des lieux a en effet permis un développement naturel et spontané de la flore et de la faune. A côté d’arbres plus que centenaires (hêtre pourpre, marronniers, érables, chênes, tilleuls, platanes, frênes,...), diverses espèces de la flore traditionnelle de la vallée marécageuse de la Haine se sont implantées en toute quiétude et ont recolonisé progressivement les lieux formant ainsi un écosystème tout-à-fait remarquable dans sa diversité. A l’arrière du site, une zone humide, véritable roselière, vestige des étangs creusés au Moyen-Age, est habitée par une faune très variée (grenouilles, poules d’eau, canards colverts, hérons cendrés, tritons, ...). Différentes espèces animales ont trouvé dans ce parc un havre de paix. Celui-ci est, en effet, en communication directe avec le « Parc à Saules », le « Bois d’Hainin » et les « Bois de Montroeul » et de « Pommeroeul ». On y rencontre notamment écureuils, lapins, renards, faisans, poules d’eau, chevreuils, putois, belettes, lérots, hérissons... Les oiseaux y sont également très nombreux: chouettes, mésanges, pics, buses, ramiers, faucons, chardonnerets, hérons cendrés, passereaux,... Le parc du château de Boussu de douze hectares reprend le plan du parc romantique à l'Anglaise réalisé sous Maurice de Caraman (1769 - 1835), dernier comte de Boussu.


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